
Pour le directeur du service d’accueil de crise Abaka, on n’a pas expliqué correctement le confinement aux jeunes. Si on n’a pas demandé l’avis des enfants au cours de la crise sanitaire, les adolescents vulnérables ont aussi été « mis de côté », constate Eric Fairier, directeur de l’ASBL Abaka, à Ixelles, qui propose un hébergement d’urgence pour les 12-18 ans. Ce service n’a pas fermé boutique pendant le confinement.